Do you have the choice ?

Ça parait logique ...

Ce printemps, un des responsables français de la communication du groupe pharmaceutique AstraZenaca déclarait partout, comme sur BFMTV, qu'AstraZeneca faisait très peu de bénéfices sur le vaccin contre le coronavirus.

Emmanuel Macron rendait, quelques semaines plus tard, le vaccin quasiment obligatoire pour toutes et tous en France (sauf pour les très jeunes pour le moment).

les Mc's sont des robots ?

À chaque fois que je passe par cette entrée de la cité de Saint-Éloi à Poitiers (voir photo ci-dessus), je repense à une chanson du groupe de rap breton Kickblast avec en featuring le légendaire Rockin' Squat qui s'intitule les Mc's sont des robots.

À Poitiers, le conditionnement à l'alcoolisme et la désintégration commence dès le plus jeune âge.

Allez constater par vous-mêmes ...

Ah ! Les privilèges ...

Lorsque je suis arrivé à Poitiers en 2016, j'ai remarqué, garée sur le trottoir derrière l'Espace Mendès France et son parking - Espace Mendès France : sciences en partage, (des fois, je me demande ce qu'ils peuvent ou veulent partager), cette berline de luxe placée sur le trottoir devant un parking attenant à la partie arrière de l'Espace Mendès France et un panneau interdisant le stationnement sans jamais une seule contravention et aucune voiture qui prenne sa place en semaine lorsqu'elle était absente sachant que cette rue est sous horodateur et qui m'obligeait à marcher sur la route pour pouvoir continuer mon chemin (ce qui est légion à Poitiers, j'y reviendrai bientôt).

Alors au bout de 5 années j'ai pu vérifier ce que malheureusement je redoutais.

Une femme a été assassinée pour être sortie de son lieu de travail pour aller à l'horodateur et mettre à jour le temps de stationnement de sa voiture (quel modèle de voiture ..?) afin d'éviter de prendre une contravention, j'imagine.

C'est que maintenant je sais pour qui se font assassiner des fonctionnaires de l'état à 1500 euros par mois ...

C'est le genre de chose qui ne devrait pas exister

À Royan, la mairie va faire détruire un restaurant de saison en application de la loi littorale

restaurant où l'on y mange principalement des moules et différents poissons que le restaurateur et propriétaire du restaurant avec sa femme va chercher tous les jours d'ouverture à la criée . Ce restaurant construit dans les années 50 se trouve le long de la grande plage de Royan, la Grande Conche.

Parallèlement pullulent dans les parkings les mouleries à l'année Léon (de Bruxelles)

En fait c'est "la loi des dessous de table".

Allez les filles, on écarte les jambes, la générale de l'immobilier va venir vous lécher la chatte !

Sous le bitume, les coquillages.

Quand j'étais gamin, un de mes cousins que j'ai très peu connu et qui avait passé son enfance à Poitiers, alors qu'il vivait dans le centre de Paris, m'avait dit qu'à Paris on ne voyait pas le ciel.

Quelques années plus tard, j'appris qu'il avait quitté la France et travaillait dans un club de plongée en Égypte.

Dans la nuit du 31 décembre et 1er janvier, sur le parking du Super U de la commune de Saint-Palais-sur-Mer, située sur la côte atlantique, des voitures ont brûlé et j'en suis témoin.

Alors je me suis demandé comment ces voitures avaient pu prendre feu.

En voisin direct au Super U, il y a une maison de retraite.

Après avoir créé une convention de stage de 5 jours intitulée "immersion dans une ambiance de travail", je me rendais au siège du magazine "La vie de Royan" avec mon formulaire et afin d'accélérer le début du stage leur soumettais un projet "Quels jeunes de Royan ou d'ailleurs avaient pu mettre feu aux voitures dans le parking du Super U de Saint-Palais-sur-Mer dans la nuit du 31 décembre et 1er janvier même si le Super U était fermé le 1er janvier ?".

Emballés par ce projet, ils m'ont tous dit en cœur : "c'est toi qui va t'en occuper !".

Je commençais mon stage le lundi suivant et obtenu dans la même journée un rendez-vous à la maison de retraite en face du Super U pour prendre le goûter le mercredi après-midi avec 3 patients dont les prénoms ont été changés par souci d'anonymat dans le cadre du magazine et avec comme sujet "vieillir à Royan et mourir".

Mercredi après-midi, 16h, maison de retraite, dans une petite pièce, autour de la table : Raymond, Robert et Yvette et une bouteille de Bordeaux rouge millésime 2017, introduite par mes soins et en toute discrétion, du "Château l'Écrin de Couleys, un vignoble en bronze massif".

Après quelques verres, je rentrais dans ce pourquoi j'étais venu.

- des voitures ont brûlé dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier devant la maison de retraite, pouvez-vous m'en dire plus ?

- pas vraiment. (Raymond)

- pas vraiment, c'est à dire ?

- beh y a la mini 3 de cette grosse pute qu'a le cul aussi large que ses phares arrières même quand il clignote. (Yvette)

- y a aussi le Q7 du bouseux avec son avant à la HY version bombardier. (Raymond)

- faut quand même que je te dise, p'tit gars, qu'à l'époque de notre HY avec le frangin, quand on allait en boîte, on préférait y aller à cheval. (Robert)

Avant de partir, j'avais une dernière question :

- que pouvez bien faire ces voitures sur ce parking cette nuit là alors que le supermarché était fermé depuis 19h30 ?

- c'est vrai ça ! (Robert)

...

- ah ces jeunes !!! (Raymond, Robert et Yvette)

Je sentais bien qu'ils ne m'avaient pas dit toute la vérité.

Retrouvez sur mon blog les photos de cette fameuse nuit quand le journaliste qui devait signer l'article aura retrouvé ma carte SD qu'il a soi-disant égarée et sur laquelle se trouvent les photos.

Et vous communique les prix de la Poste 2020 :

"Cette année, le Père Noël, il a été tellement généreux qu'il a laissé des cadeaux en repartant"

Merci à toi le Père Noël !

C'est mercredi, y a pas glace.

À Royan, ils rasent. C'est à cause de ces hipsters qui laissent traîner leurs poils partout.

Pour une ville à l'architecture brésilienne ...

Ce soir, c'est soirée crevettes dans les airs ...

Pas ces soirées où elles se caressent le minou sans enlever le pyjama.

Sur la grande plage de Royan, il y a une paillote qui s'appelle le Lido.

En face de ce restaurant, le côté donnant sur la mer, a été construit un restaurant, la Lida, une autre paillote

Pour le Lido, c'est facile à comprendre mais pour la Lida, je comprends pas ...

En cet été 2020, au Crédit Mutuel de Poitiers, la campagne réinvestit les lieux.

- T'es sûr ? Actualise la photo.

- T'avais raison. De toutes façons, il n'y avait plus personne dans la banque.

- On est en finale.

- Je dirais même plus. On est plus qu'en finale.

- On est où alors ?

- Je sais pas.

- I will survive ...

- I will survive ...

Au Quick de Poitiers, ils hébergent un Quick.

Cela doit être un Quick sans papiers ...

Alors que j'observais ce spectacle, dubitatif, il s'est passé un truc, un truc Hitchquickien ...

La suite bientôt.

Last Friday evening I went to the restaurant la Brasserie d'Auvergne to eat a dessert. I ordered a "cornet du Haut-Cantal" with a chocolate sauce. While I was eating my dessert, I remembered a friend well known for his craters...

Depuis quelques semaines, je me rends pratiquement tous les matins dans cette boulangerie pâtisserie de bord de mer.

Ce matin là, je demande à la boulangère ou peut être pas, avec qui je discute parfois, votre mari, à force de mouler des miches, il n'en n'oublierai pas les vôtres ?

Elle me répondit :

- De quoi je me miche jeune homme !

Du coup, je n'ai pas eu le droit à ma petite chocolaterie.

Alors je me suis demandé, quelle est l'organisation qui se trouve en face de la chocolaterie ?

ces étés, c'est David Corona tous les soirs. Formatage des esprits oblige.

souvenir de plage ...

Bienvenue à Poitiers ...

Quand je suis arrivé à Poitiers, toujours sur la fameuse place Charles de Gaulle (la place du marché) - voir la news - j'ai remarqué qu'il y avait un bar qui s'appelle les WC avec sa terrasse sur la place. Alors, il y a peu de temps, je suis rentré dans le bar, une seule pièce avec des pages de BD accrochées aux murs.

Alors dans ma tête je me suis dit que bientôt ce bar s'appelerait les WC secs, avec du foin partout sur le sol ...

chez ces gros tas de merde ...

Samedi soir, je suis allé au restaurant. Il y avait un groupe de musique dans la salle. Et je sais qui composait ce groupe, je les ai reconnus.

C'était les 3 Gros, même s'il y avait un membre de plus dans le groupe, histoire de passer totalement incognito.

En fait, les 3 Gros, ils ont revendu leur restaurant mais pour vérifier que la qualité est encore là, ils y jouent tous les samedis soir.

Le plus marrant, c'est que le propriétaire du restaurant, leur acheteur, il a pris le micro pour chanter 2 chansons et puis il leur a dit : dès que je prends ma retraite, j'espère que je pourrai intégrer votre groupe.

Last Saturday evening, I went to the restaurant. There was a music band in the dining room. And I know who composed the band, I recognized them.

It was les 3 Gros, even if there was an additional member in the band to pass unnoticed.

Actually, les 3 Gros, they resolded their restaurant but to check that the quality is still there, they play music each Saturday evening.

The funniest for me, it is that the owner of the restaurant, their buyer, he took the microphone to sing two songs and after he told them : when I am retired, I hope I could integrate your band.

Jeudi dernier, je suis allé au New Bridge, ils y servent un café 3 jours d'âge.

Pour les connaisseurs ...

Last Thursday, I went to the New Bridge, they serve a coffee 3 days old.

For the experts ...

Ce soir, c'est l'happy-hour au petit communard.

Avant d'y aller, j'ai bu deux bières au lieu d'une.

Mais chut...

Trop tard, je l'ai dit...

Ce soir, je suis allé au petit communard.

Je suis allé au bar et j'ai dit au patron :

- je voudrais un petit robespierre.

- ...

- un petit danton ..?

- ...

- alors une mort subite ... lol ...

Il en est resté ...

Quand je suis arrivé à Poitiers en 2016, un jour, j'ai dit à un proche que j'étais sorti la veille dans un pub place Charles de Gaulle (la place du marché).

Il m'a répondu : le pub où ils (elles) ont le visage déformé(e)s.

Je n'ai pas osé dire oui tellement je connais l'organisation de la police politique des fachos poitevins.

Alors dis-moi, what feeds you ?

Quand j'étais adolescent, mon père disait que je souffrais de délires de persécution. Je vais quand même vous raconter ce qu'une organisation terroriste me fait subir depuis plus de 5 ans.

Voici ce que j'ai subi au bar-restaurant la Serrurerie à Poitiers un soir d'automne 2019

Un samedi soir, j'étais avec un copain dans un bar dans le centre ville de Poitiers. Nous prenions l'apéro.

Puis, il m'a proposé d'aller diner au restaurant la Serrurerie.

J'étais réticent, je vais bientôt vous expliquer pourquoi, mais j'ai accepté.

Arrivés à la Serrurerie, vers les 21h, on nous a installé à une table près de la porte d'entrée.

Puis, lorsque le serveur est arrivé pour prendre la commande, il a commencé par nous dire quelque chose de très bizarre :
- vous nous avez bien fait marrer.

Pourquoi dire une telle chose ..?

Puis, nous lui avons dit ce que nous souhaitions manger.

Mais lorsque nous avons voulu commander une bouteille de vin, voici ce qu'il nous a répondu :
- vous n'avez pas le droit de consommer de l'alcool.

C'est la première fois que je vivais cette situation.

Alors nous somme partis.

Je vais bientôt vous expliquer quelle est l'organisation terroriste qui se cache derrière tout cela.

Voici ce qu'il m'est arrivé en avril 2019 dans un bar de Poitiers.

Ce soir là, un jeudi soir, j'avais envie de sortir alors je suis allé dans un restaurant où l'on peut se mettre au bar pour boire des verres, un restaurant où j'allais parfois.

Dans ce restaurant, il change les vins rouges par 4 régulièrement et ils en informent la clientèle en donnant le nom des vins sur une ardoise, il me semble, sur le bar.

J'ai donc décidé de goûter ces 4 vins. Je les ai bus tranquillement, en l'espace d'1h30, il me semble.

Ensuite, vers les 23h, je me suis rendu dans un bar juste à côté, en face. Je me suis mis au bar, et j'ai commandé une bière. J'ai un peu discuté avec un des barmans. Après, j'ai pris une seconde bière. Mais à un moment, une fille est venue me parler, ce fut assez rapide, elle m'a emmener dans une cours devant le bar et a commencé à me parler d'un épisode de sa vie. Je la trouvais assez jolie.

Mais, à un moment, elle est partie d'un coup.

Alors, je suis re-rentré dans le bar, et là j'ai vu un de ses amis. Il m'a donné son prénom. Alors je suis allé la voir, mais là, elle semblait terrorisée. Je lui ai dit son prénom pour vérifier et elle m'a répondu avec la peur au ventre : qui t'a dit mon prénom !

Des gens étaient venus lui dire des choses sur moi ...

Comme elle faisait beaucoup de bruit, vu son état de panique, le patron est venu me voir, en me menaçant verbalement, presque physiquement, et m'a dit de partir et de ne plus revenir.

Alors je suis parti.